(di Robert Faurisson)
Nel
1944, a Roma, il capitano Priebke ha visto con i propri occhi,
uccidere vigliaccamente trenta dei suoi compagni, fatti saltare in
aria dall'esplosione di un carretto che era stato parcheggiato in Via
Rasella da cecchini che appartenevano al partito comunista.
Ha
visto anche un centinaio dei suoi compagni feriti dalla stessa
esplosione: una gran parte di loro persero la vista. Il Capitano
rimase particolarmente sconvolto alla vista di un giovane ragazzo
italiano di 11 anni, il cui corpo fu squarciato in due
dall'esplosione. Quindi ditemi, quale uomo o qual donna potrebbe
mantenere il suo sangue freddo in tali circostanze? Aggiungi anche
che egli è fra coloro che hanno ricevuto ordini da Berlino,
trasmessi dai suoi superiori, di eseguire il giorno dopo, per
rappresaglia: Ammazzare dieci Italiani per ogni tedesco ucciso. Un
nuovo orrore dopo l'orrore prima.
Le associazioni di ebrei,
comunisti e altri che hanno preso, giorno 16 ottobre 2013,
l'iniziativa di organizzare la manifestazione violenta ed infame
contro i tentativi di trasportare la bara di Priebke in chiesa, non
so se lo abbiano fatto pensando al crimine che esse gli rimproverano,
oppure se lo abbiano fatto per condannare il suo revisionismo.
(Vedere la sua ultima intervista del luglio 2013, a 100 anni
suonati)
Caos e scontri ai funerali di Erich Priebke, organizzati dalle associazioni di ebrei e di comunisti
Dal momento in cui, sul piano strettamente storico e
scientifico, i revisionisti stanno avendo successo su successo, si
comprende bene il panico che regna fra coloro che hanno propagandato
per 70 anni “Olocausto” e “Shoah”, e che vogliano ora
costringere il governo italiano ad adottare una legge contro il
revisionismo.
Riflettiamo, e pensiamo...
ci vogliono
imporre, per legge, la loro verità....
Robert Faurisson, Il
17 dicembre 1980, alla stazione radio Europe 1, ha sintetizzato il
suo revisionismo in una frase di quasi sessanta parole:
“Le
pretese camere a gas hitleriane e il preteso genocidio degli ebrei
formano una sola e medesima menzogna storica, che ha permesso una
truffa politica e finanziaria gigantesca, i cui principali
beneficiari sono lo Stato d'Israele e il sionismo internazionale, e
le cui principali vittime sono il popolo tedesco - ma non i suoi
dirigenti - e tutto il popolo palestinese.”
Caos e scontri ai funerali di Erich Priebke, organizzati dalle associazioni di ebrei e di comunisti |
Thursday, October 17, 2013
Le vrai crime d'Erich Priebke : son révisionnisme ?
Robert Faurisson |
En 1944, à Rome, le capitaine Erich Priebke a vu, de ses yeux vu, une trentaine de ses camarades lâchement assassinés, déchiquetés par un engin qu'avaient déposé via Rasella des francs-tireurs sous commandement communiste. Il a aussi vu une centaine de ses camarades blessés par ce même engin : une grande partie en étaient devenus aveugles. Il a été spécialement bouleversé à la vue du jeune Italien âgé de 11 ans dont le corps a été coupé en deux. Alors, minute, quel est l'homme, quelle est la femme qui, en pareilles circonstances, aurait pu conserver son sang-froid ? Ajoutons à cela qu'il a fait partie de ceux qui ont reçu l'ordre, venu de Berlin et transmis par ses supérieurs, d'exécuter le lendemain, en représailles, environ dix hommes pour un assassiné. Une nouvelle horreur après une première horreur.
Les associations juives, communistes et autres qui hier ont pris l'initiative d'organiser d'infâmes violences contre les tentatives d'un transport du cercueil de Priebke vers une église songeaient certainement au « crime » qu'elles lui reprochaient mais l'on peut se demander si à leurs yeux le vrai crime du bouc émissaire n'était pas son révisionnisme (voy. son entretien écrit de juillet 2013). A l'heure où, sur le plan strictement historique et scientifique, les révisionnistes remportent victoire sur victoire on comprend la panique qui gagne de plus en plus les adeptes de la religion de « l'Holocauste » ou de « la Shoah ». Et puis, n'est-ce pas ?, il faut créer les conditions nécessaires pour que l'Italie, à son tour, adopte une loi d'exception contre le révisionnisme.
17 octobre 2013
En 1944, à Rome, le capitaine Erich Priebke a vu, de ses yeux vu, une trentaine de ses camarades lâchement assassinés, déchiquetés par un engin qu'avaient déposé via Rasella des francs-tireurs sous commandement communiste. Il a aussi vu une centaine de ses camarades blessés par ce même engin : une grande partie en étaient devenus aveugles. Il a été spécialement bouleversé à la vue du jeune Italien âgé de 11 ans dont le corps a été coupé en deux. Alors, minute, quel est l'homme, quelle est la femme qui, en pareilles circonstances, aurait pu conserver son sang-froid ? Ajoutons à cela qu'il a fait partie de ceux qui ont reçu l'ordre, venu de Berlin et transmis par ses supérieurs, d'exécuter le lendemain, en représailles, environ dix hommes pour un assassiné. Une nouvelle horreur après une première horreur.
Les associations juives, communistes et autres qui hier ont pris l'initiative d'organiser d'infâmes violences contre les tentatives d'un transport du cercueil de Priebke vers une église songeaient certainement au « crime » qu'elles lui reprochaient mais l'on peut se demander si à leurs yeux le vrai crime du bouc émissaire n'était pas son révisionnisme (voy. son entretien écrit de juillet 2013). A l'heure où, sur le plan strictement historique et scientifique, les révisionnistes remportent victoire sur victoire on comprend la panique qui gagne de plus en plus les adeptes de la religion de « l'Holocauste » ou de « la Shoah ». Et puis, n'est-ce pas ?, il faut créer les conditions nécessaires pour que l'Italie, à son tour, adopte une loi d'exception contre le révisionnisme.
17 octobre 2013
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